Revue Beyra

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Revue des Sciences de la Communication, du Langage, des Lettres et des Langues

UFR des Lettres et des Arts – Université Peleforo GON 
BP 1328 Korhogo – Côte d’Ivoire)
Email: revuebeyra@gmail.com

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Directives pour les auteurs

Directives pour les auteurs

  • RECOMMANDATIONS AUX AUTEURS & DISPOSITIONS PRATIQUES

    La Revue scientifique BEYRA est une revue électronique semestrielle qui publie des articles originaux en Sciences de la Communication, du Langage, des Lettres et des Langues.

     

    Modalités de soumission

    Les propositions de contribution doivent comprendre :

    • le titre envisagé (Times New Roman, taille 20, caractères d’imprimerie, centré) ;
    • le nom et le (s) prénom (s) (Times New Roman, taille 12, Premières lettres en majuscule, centré);
    • le rattachement institutionnel et les coordonnées (e-mail) du ou des auteurs ;
    • deux résumés en français et en anglais (250 mots maximum, interligne simple) ;
    • 5 à 7 mots-clés en français et en anglais ;
    • le texte complet (7600 mots maximum), en version Word, Times New Roman 12, interligne simple.

     

    Tout paragraphe est nécessairement marqué par un alinéa d’au moins un (01) cm à gauche pour la première ligne.

     

    NORMES DE RÉDACTION ET DE PRÉSENTATION

    Toutes les contributions doivent adopter, pour la rédaction, les NORMES CAMES (NORCAMES/LSH adoptées par le CTS/LSH, le 17 Juillet 2016 à Bamako, lors de la 38ème session des CCI) concernant la rédaction des textes en Lettres et Sciences humaines).

    Extrait NORCAMES (Lettres et sciences humaines)

    3.3. La structure d’un article scientifique en lettres et sciences humaines se présente comme suit :

    – Pour un article qui est une contribution théorique et fondamentale : Titre, Prénom (s) et Nom de l’auteur, Institution d’attache, Adresse électronique, Résumé en Français [250 mots maximum], Mots clés [7 mots maximum], [Titre en Anglais] Abstract, Keywords, Introduction (justification du thème, problématique, hypothèses/objectifs scientifiques, approche), Développement articulé, Conclusion, Bibliographie.

    – Pour un article qui résulte d’une recherche de terrain : Titre, Prénom et Nom de l’auteur, Institution d’attache, adresse électronique, Résumé en Français [250 mots au plus], Mots clés [7 mots au plus], [Titre en Anglais], Abstract, Keywords, Introduction, Méthodologie, Résultats et Discussion, Conclusion, Bibliographie.

    – Les articulations d’un article, à l’exception de l’introduction, de la conclusion, de la bibliographie, doivent être titrées, et numérotées par des chiffres (exemples : 1.; 1.1. ; 1.2 ; 2. ; 2.2. ; 2.2.1 ; 2.2.2. ; 3. ; etc.). (Ne pas automatiser ces numérotations)

    3.4. Les passages cités sont présentés en romain et entre guillemets (Pas d’Italique donc !). Lorsque la phrase citant et la citation dépassent trois (03) lignes, il faut aller à la ligne, pour présenter la citation (interligne 1) en romain et en retrait, en diminuant la taille de police d’un point.

    3.5. Les références de citation sont intégrées au texte citant, selon les cas, de la façon suivante : – (Initiale (s) du Prénom ou des Prénoms de l’auteur. Nom de l’Auteur, année de publication, pages citées) ; – Initiale (s) du Prénom ou des Prénoms de l’auteur. Nom de l’Auteur (année de publication, pages citées).

    Exemples :

    – En effet, le but poursuivi par M. Ascher (1998, p. 223), est « d’élargir l’histoire des mathématiques de telle sorte qu’elle acquière une perspective multiculturelle et globale (…), d’accroitre le domaine des mathématiques : alors qu’elle s’est pour l’essentiel occupée du groupe professionnel occidental que l’on appelle les mathématiciens (…) ».

    – Pour dire plus amplement ce qu’est cette capacité de la société civile, qui dans son déploiement effectif, atteste qu’elle peut porter le développement et l’histoire, S. B. Diagne (1991, p. 2) écrit :

    Qu’on ne s’y trompe pas : de toute manière, les populations ont toujours su opposer à la philosophie de l’encadrement et à son volontarisme leurs propres stratégies de contournements. Celles-là, par exemple, sont lisibles dans le dynamisme, ou à tout le moins, dans la créativité dont sait preuve ce que l’on désigne sous le nom de secteur informel et à qui il faudra donner l’appellation positive d’économie populaire.

    • Le philosophe ivoirien a raison, dans une certaine mesure, de lire, dans ce choc déstabilisateur, le processus du sous-développement. Ainsi qu’il le dit :

    le processus du sous-développement résultant de ce choc est vécu concrètement par les populations concernées comme une crise globale : crise socio-économique (exploitation brutale, chômage permanent, exode accéléré et douloureux), mais aussi crise socio-culturelle et de civilisation traduisant une impréparation sociohistorique et une inadaptation des cultures et des comportements humains aux formes de vie imposées par les technologies étrangères. (S. Diakité, 1985, p. 105).

    3.6. Les sources historiques, les références d’informations orales et les notes explicatives sont numérotées en série continue et présentées en bas de page.

    3.7. Les divers éléments d’une référence bibliographique sont présentés comme suit : NOM et Prénom (s) de l’auteur, Année de publication, Zone titre, Lieu de publication, Zone Éditeur, pages (p.) occupées par l’article dans la revue ou l’ouvrage collectif. Dans la zone titre, le titre d’un article est présenté en romain et entre guillemets, celui d’un ouvrage, d’un mémoire ou d’une thèse, d’un rapport, d’une revue ou d’un journal est présenté en italique. Dans la zone Éditeur, on indique la Maison d’édition (pour un ouvrage), le Nom et le numéro/volume de la revue (pour un article). Au cas où un ouvrage est une traduction et/ou une réédition, il faut préciser après le titre le nom du traducteur et/ou l’édition (ex : 2nde éd.).

    3.8. Ne sont présentées dans les références bibliographiques que les références des documents cités. Les références bibliographiques sont présentées par ordre alphabétique des noms d’auteur. Par exemple :

     Références bibliographiques

    AMIN Samir, 1996, Les défis de la mondialisation, Paris, L’Harmattan.

    AUDARD Cathérine, 2009, Qu’est-ce que le libéralisme ? Éthique, politique, société, Paris, Gallimard.

    BERGER Gaston, 1967, L’homme moderne et son éducation, Paris, PUF.

    DIAGNE Souleymane Bachir, 2003, « Islam et philosophie. Leçons d’une rencontre», Diogène, 202, p. 145- 151. 4.

    DIAKITÉ Sidiki, 1985, Violence technologique et développement. La question africaine du développement, Paris, L’Harmattan.